Damien Clauzel - Mot-clé - recrutement - Commentaires2024-03-27T11:37:53+01:00Damien Clauzelurn:md5:6728c0058bb2c4b2870d8dbd71b50f9eDotclearÉtudiants en informatique, préparez votre entrée sur le marché du travail - Damien Clauzelurn:md5:40dbd237770d8f37ede422fef8d1d0842009-10-01T17:35:51+02:002009-10-01T16:35:51+02:00Damien Clauzel<p>Oui, tout à fait : il faut bien distinguer l'utilisation des plate-formes
sociales dans un cadre professionnel (présence, valorisation, communication et
autres) de l'utilisation qui en est faite dans le cadre privé (famille, amis,
etc). L'approche traditionnelle est d'utiliser systématiquement un nom de plume
pour l'usage privé, et de ne pas établir de liens entre les différents profils
pour laisser transparaitre que les 2 personnes ne sont qu'une.</p>
<p>La prise en compte de la vie privée sur internet est désormais au programme
des écoles, collèges, lycées et universités. L'accent est mis sur différents
aspects (échanges poussés avec des personnes inconnus, diffusion de données
personnelles, vie sociale, etc) selon les âges, mais normalement les élèves
sont régulièrement sensibilisés et éduqués sur cette question. Ensuite, en
tiennent-il compte ? Pas toujours malheureusement.</p>
<p>J'utilise ce <a href="http://blog.damien.clauzel.nom.fr/post/2008/12/26/Questions-sur-le-partage-de-ses-supports-visuels-de-presentation" rel="ugc nofollow">
SVP</a> (<a hreflang="fr" href="http://www.slideshare.net/dClauzel/prendre-conscience-de-sa-trace-sur-internet-presentation" rel="ugc nofollow">Prendre
conscience de sa trace sur internet</a>) comme support de cours, afin de lancer
des discussions. Il est adapté pour les niveaux lycée et université.</p>Étudiants en informatique, préparez votre entrée sur le marché du travail - Cassandreurn:md5:b9047f870fe3865c803861e5a05811012009-09-30T00:20:21+02:002009-09-29T23:20:21+02:00Cassandre<p>Je suis globalement d'accord avec toi. Cependant, je mettrais un bémol sur
l'inscription sur les réseaux sociaux : Facebook, Twitter ou autres
Viadéo/linkedln qui sont bien sympa, mais il faut faire extrêmement attention à
l'image qu'on veut véhiculer. D'où le fait que j'utilise globalement un pseudo
pour laisser mes traces sur la toile plutôt que mon vrai nom, au moins un
éventuel employeur ne tombera pas sur mon blog perso avec tout ce que ça peut
impliquer de "négatif" ou de "positif", mais comme on ne sait jamais à
l'avance...<br />
Et c'est le soucis... un blog, c'est facile à maîtriser, donc pourquoi pas. En
faire un comme le tiens est parfaitement adapté, rien à redire.<br />
Mais Facebook.... à moins d'ouvrir un compte exclusivement pro, c'est difficile
de maintenir une certaine cohésion, je le vois bien, je me suis fait "piégée"
(avec mon consentement) et j'ai mes collègues qui sont aussi mes amis. Il faut
donc faire attention à quoi poster quand.<br />
Imaginons que tu prennes une pause sur ton temps de travail, et que tu joue à
une petite application sur Facebook (et dieu sait s'il y en a, c'est *la*
raison pour laquelle je reste inscrite, des jeux gratuis pas trop ch... et même
amusants et presque à être "dépendante" ^^" mais bon, j'exagère :) ), avec le
système de publication quasi automatique (il faut bien penser à enlever les
autorisations à publier sans avoir à cliquer sur "ok") et bien on peut se
retrouver avec quelque chose comme "X vient de battre son record au jeu Y" et
comme l'heure est indiquée... si c'est en milieu d'après midi, bonjour le
sérieux.</p>
<p>Idem avec les questionnaires "quizz" auxquels on est tenté de répondre...
les résultats, parfois douteux, peuvent donner une fausse image de soi, ou du
moins une image qui peut ne pas plaire à tous le monde (ok, de toute façon, on
ne peut pas plaire à tous le monde :) ) mais, je dirais que l'information qui
est communiquée, si on joue vraiment le jeu du profil public accessible par
tous, est à double tranchant si on ne le maîtrise pas complétement.<br />
Je ne sais pas si je suis très claire... là, j'ai trop sommeil pour être
vraiment concise ^^"</p>
<p>D'ailleurs hop.. au dodo ! ^^</p>Vie quotidienne au CNRS : recrutement sauvage et paupérisation des informaticiens - Damien Clauzelurn:md5:e277c355bc1b808937d4f119f9a63fe42009-09-25T14:21:37+02:002009-09-25T13:21:37+02:00Damien Clauzel<p>Le problème est que l'entreprise dépend de choses comme les subventions de
l'état, qui lui permettent de financer une partie du salaire. Or, faible
subvention signifie faible salaire, et donc pas de candidats.</p>Vie quotidienne au CNRS : recrutement sauvage et paupérisation des informaticiens - Cassandreurn:md5:1fb835dbbc38b538527786e9e96b50b12009-09-25T09:08:07+02:002009-09-25T08:08:07+02:00Cassandre<p>J'imagine que s'il y en a pour se présenter et accepter les conditions, ils
ne vont pas cracher dessus, après rien n'indique qu'il ne soit pas possible de
négocier (et je doute qu'ils trouvent effectivement une personne pour ce prix
là...)</p>