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mercredi 25 mars 2009

Vie quotidienne au CNRS : la rationalisation du téléphone

Les membres du LIRIS, personnels titulaires et non-permanents, ont reçu le message suivant du directeur de laboratoire.

Bonjour,

Afin d'harmoniser les pratiques sur chacun de nos sites en matière de communication téléphonique, nous avons fixé quelques règles de bon sens :

Professeurs et HdR : ligne internationale jour et nuit

MCF : ligne nationale + portable jour

PR invité : ligne nationale + portable jour

Administratif/techniques : ligne nationale + portable jour

Post Doc/Doc : ligne nationale jour

Stagiaires : ligne régionale jour

Fax : ligne internationale jour et nuit

J'invite les responsables site (Saïd, Serge et Liming) à faire un état des lieux et de converger vers cette utilisation.

merci

Étant doctorant au LIRIS, cette nouvelle politique me concerne directement.

Le problème principal est que, de nos jours, tout le monde a des portables. Ne pas pouvoir composer de 06* signifie ne plus pouvoir joindre les collègues en déplacement ou communiquer avec les personnes en dehors du LIRIS.

Accéder aux numéros en 09* est aussi critique pour les téléphones VoIP (genre Freebox, PBX d'entreprise, etc).

Rationaliser l'accès aux ressources part d'une bonne idée, mais si pour passer un coup de fil il faut remplir un formulaire, cela ne va pas améliorer les conditions de travail et la productivité générale.

Pour améliorer le fonctionnement du LIRIS, il faudrait peut-être plutôt commencer par faciliter la vie des personnes, et non pas poser davantage de restrictions. Il y a plein de petites améliorations simples à apporter au quotidien et qui rendrait vraiment service.

Par exemple, améliorer le système de sauvegarde pour automatiser la conservation des données des ordinateurs portables (actuellement, c'est à faire manuellement), ou encore déployer un outil permettant simplement de créer et de gérer des listes de diffusion internes au laboratoire afin de faciliter la communication.

mardi 3 mars 2009

Vie quotidienne au CNRS : l'achat d'une webcam

Contexte

Au moment où je commence la rédaction de ce billet (début mars 2009), le CNRS et les universités sont en lutte contre les réformes universitaires imposées par le gouvernement.

Mais en parallèle, la vie quotidienne se poursuit, avec son ensemble de petits tracas. Un exemple concret des problèmes qui encombrent la recherche publique est l'achat de petit matériel. Dans mon cas, il s'agit d'une webcam, la Logitech QuickCam Communicate Deluxe, disponible chez LDLC à 39,90€.

Il se trouve que mon équipe de recherche, SILEX a besoin d'une webcam pour réaliser des expérimentations et des visioconférences. Sans être extraordinaire, cette webcam a besoin d'avoir des caractéristiques précises : compatibilité avec nos systèmes existants, capacités techniques, etc.

Notre choix s'est porté sur cette QuickCam qui équipe bon nombre de foyers français, et qui est disponible un peu partout. Sauf pour le CNRS, qui doit suivre des procédures d'achats particulières : le Marché public (brrr).

Voici donc comment se passe concrètement de nos jours l'achat d'une webcam au CNRS. Et après on s'étonne que la recherche publique va mal…

Fin novembre 2008

Fin novembre 2008, la décision est prise de réaliser l'achat. Muni de l'autorisation officielle de mon supérieur hiérarchique (un courriel), je discute donc avec la secrétaire du laboratoire afin de faire une demande d'achat pour l'équipe.

La démarche est très simple, je n'ai qu'à donner la référence du produit (avec en plus dans mon cas le lien vers la fiche de LDLC) et le secrétariat s'occupe du reste.

Sauf que… plus possible de faire d'achats, le budget annuel est bouclé : il faut attendre mi-janvier 2009 que le nouveau budget soit ouvert et que les vacances soient terminées. Soit.

Mi-janvier 2009

Je réactive la demande d'achat; mais la réponse arrive très rapidement : impossible de commander la webcam. Il faut obligatoirement passer par le marché pour réaliser cet achat, catégorisé par le CNRS dans les « consommables ». Il faut donc faire notre choix dans le catalogue proposé par l'entreprise ayant remporté ce marché.

Mais ce catalogue n'a qu'une seule webcam en référence, qui :

  1. ne correspond pas du tout à nos besoins;
  2. est plus chère de 15% que le prix constaté dans le commerce.

Il nous faut donc trouver une solution. Nous décidons de négocier directement (comprendre, « par email et par fax ») avec l'entreprise ayant remporté le marché sur cette catégorie, afin qu'elle nous propose un produit, à un prix acceptable, qui corresponde à nos besoins. Je ne suis pas sûr que cette démarche soit conforme aux procédures, mais les autres alternatives ne sont pas envisageables :

  • lancer une procédure de demande d'achat hors-marché : c'est long, très long, car ça passe par différentes commissions pour être validé et n'a aucune garanti d'être accepté;
  • réaliser l'achat sur mon salaire, et faire une demande de remboursement : ce qui veut dire ne pas avoir de certitude sur le fait d'être remboursé (car la procédure n'a pas été suivie), et que de toute façon les délais seront astronomiques (environ 6 mois).

L'entreprise répond qu'elle va établir un devis pour nous le soumettre. Entre-temps, la secrétaire fait remonter à l'administration (laquelle ? Je ne sais pas) les prix anormalement élevés du marché (qui a choisi ce fournisseur ? je l'ignore).

Début mars 2009

Rien. Pas de nouvelles précises si ce n'est que « les démarches sont en cours ». Cela fait désormais un peu plus de trois mois que j'ai demandé une webcam à 39€ pour travailler, et je n'ai toujours rien.

Mi-mars 2009

La webcam est arrivée au secrétariat du laboratoire. Il aura en tout fallu 3 mois et demi, ainsi que de nombreux échanges par email, fax et téléphone pour obtenir une webcam grand public achetable partout en France et sur internet.

Conclusion ?

D'un point de vue très concret, une des améliorations simples envisageables pour faciliter la recherche en France serait de simplifier les procédures administratives. Le principe des marchés publics avait à l'origine comme but de favoriser la baisse des prix via des achats de masse, et d'éviter les abus de favoritisme. Mais de nos jours, ce mécanisme des marchés publics bride le travail au quotidien.

Ainsi, le nouveau système mis en place pour les missions impose de déclarer au minimum 7 jours à l'avance les achats de billets de train. Il devient alors très difficile (et long) de se faire rembourser des déplacements impromptus mais tout à fait légitimes.

Parmi toutes les réformes de la recherche publique, il ne faudrait pas oublier celle-ci : simplifier les achats de petits matériels.
 

mercredi 25 février 2009

HADOPI - Le Net en France : black-out

Pourquoi ?

  • Parce qu'HADOPI est technologiquement inapplicable avec les méthodes actuelles de cryptographie;
  • parce qu'HADOPI ne sert qu'à protéger les revenus d'une poignée d'entreprises aux modèles économiques obsolètes;
  • parce qu'HADOPI pénalise l'innovation industrielle en interdisant le développement de nouvelles technologies utilisées dans le reste du monde;
  • parce qu'HADOPI arrive trop tard;
  • parce qu'HADOPI a une mauvaise compréhension des pratiques sociales au quotidien;
  • parce qu'HADOPI est décriée par le parlement européen;
  • parce qu'HADOPI est décriée par la commission européen;
  • parce qu'HADOPI est décriée par la CNIL;

Parce que les citoyens ne veulent pas d'HADOPI, tout simplement.

Quadrature black-out HADOPI

Aller plus loin

jeudi 22 janvier 2009

Participation du Label « Docteur pour l'entreprise » à la Journée Entreprises-Docteurs 2009

Le Label « Docteur pour l'entreprise » sera présent à la Journée Entreprises-Docteurs 2009 (JED 2009), le mardi 27 janvier à Lyon.

C'est l'occasion d'en apprendre davantage sur l'importance des apports que fournissent les docteurs aux entreprises, et comment accélérer le transfert de connaissances et de technologies depuis l'université vers le monde professionnel.

vendredi 26 décembre 2008

Questions sur le partage de ses supports visuels de présentation

Le support visuel de présentation

Dans le cadre d'une présentation de travail scientifique, d'un cours ou de toute autre situation où la présentation vient compléter une ressource existante, se pose la question du partage du support visuel de présentation (SVP).

De nombreux problèmes peuvent se poser quand il s'agit de partager ce genre de matériel : droit d'auteur, qualité du support (du point de vue de l'auteur, celui-ci l'ayant habituellement terminé trois minutes avant le début de son intervention), volonté de pérenniser le travail effectué, etc. Ici, nous réfléchirons sur la pertinence de réaliser un tel partage, du point de vue du lecteur ou de l'auditeur.

Pour être précis, quand nous parlerons de SVP nous désignerons des documents tels que ceux conçus avec Impress avec pour objectif de soutenir un discours préparé.

Les deux domaines que nous traiterons dans cet article sont celui du travail scientifique, et celui de l'enseignement. Il est peut-être envisageable d'étendre notre réflexion à des domaines comme le marketing ou la communication d'entreprise, mais nous ne nous risquerons pas à faire ce bond.

En restant au niveau général, il est possible de dire que le SVP pour une présentation de travail scientifique sert à préciser le discours, et à illustrer les propos. En ce qui concerne l'enseignement, la problématique est légèrement différente puisqu'il s'agit (pour simplifier, que les ayatollahs de l'IUFM ne m'écorchent pas vif :) d'inscrire le discours de l'enseignant dans la mémoire de l'élève. Le SVP sert alors de support permettant d'ancrer des éléments dans le déroulement du cours afin de les éclaircir et les illustrer.

Pour mémoire, nous rappellerons que la conception d'un SVP efficace repose sur des critères précis. Chaque domaine ayant des modalités différentes (durée, mise en place, etc) pour ses présentations types (communication, soutenance, etc), nous citerons ici juste deux éléments généraux dans leurs approches, avec des recommandations techniques directement utiles :

Ce qui se fait actuellement en matière de partage de support visuel de présentation

Historiquement réalisée par la distribution de livret reprenant des copie-papiers de transparents, puis d'imprimés de documents numériques et d'envois par email, la diffusion des SVP étaient figée et à sens unique; l'auditoire ne pouvant que consommer le support sans pouvoir réagir (ce qui dans un sens n'est pas nécessairement mauvais, car on n'a pas toujours envie d'avoir des retours (surtout public !) trop poussés sur son travail).

Avec l'essor de ce que le buzz ambiant nomme « web social », les intervenants ont cherché à améliorer le partage de leurs SVP en profitant d'outils spécifiques : plate-forme de partage, site de projet, espace de discussion associé au contenu, etc.

Exemples de réalisation :

  • le site communautaire SlideShare : mise en ligne de SVP, dans un format adapté au web : lecture, partage, reprise, regroupement thématique, commentaires...
  • le cours 16.885J / ESD.35J Aircraft Systems Engineering du MIT OpenCourseWare. On y trouve une présentation, des vidéos du cours, les supports et documents utilisés, des illustrations et des liens vers des références. Mais cet aspect du partage de ressources de cours rejoint la problématique de la formation en ligne, que nous n'aborderons pas ici; l'objectif étant de réfléchir sur le partage de SVP
  • sur les système de gestion de contenu tels que Drupal, les SVP peuvent être associés à des fiches de ressources via un mécanisme de fichiers attachés; l'édition de la fiche à la sauce wiki ou la rédaction de commentaires permettant de réaliser l'ouverture vers un mode d'utilisation sociale

Améliorations souhaitables pour les systèmes de partage existant

Ceci étant dit, on peut s'interroger sur l'utilité pour les scientifiques et les enseignants des sites de partage de SVP. Y cherche-t'on un rôle d'archivage personnel ? Un moyen de diffusion simple de notes auprès de l'auditoire ? Un espace d'échanges entre un auditoire et l'intervenant ? L'usage n'est pas clair, et les pratiques restent à définir.

L'argument que je développe ici est que le support visuel de présentation n'est pas autoporté, il ne suffit pas à transmettre une information complète. Son but est de supporter le discours, et non pas de remplacer l'intervenant. Un SVP n'est pas un document qu'on peut lire pour s'informer sur un sujet, auquel cas ce serait un article, et non plus un support; l'intervenant n'aurait alors plus de raison de présenter ce document puisque ce dernier contiendrait déjà toute l'information.

C'est pour cela qu'un enseignant ne peut pas se contenter de distribuer à ses élèves le SVP du cours, ni qu'un intervenant peut simplement diffuser le SVP de ses présentations : il faut associer le corps du discours au message.

Pour moi, un support visuel de présentation (SVP) ne présente pas d'intérêt sans :

  • la ressource sur laquelle porte la présentation. Elle permet de faire référence au matériel discuté.
  • le discours audio de l'intervenant. La parole de l'intervenant, avec ses commentaires, précisions et éventuelles questions de l'auditoire, constitue l'aspect réellement intéressant de la présentation.
  • éventuellement la vidéo de l'intervenant. Cet aspect est particulièrement utile dans le cas de manipulation et de démonstration sur des éléments physiques.

Le partage du support visuel de la présentation permettant alors quand à lui une consultation personnelle du support utilisé afin de, par exemple, rafraîchir un souvenir sur un point précédent ou encore en avoir une meilleure lecture (lumière sur l'écran du SVP, mauvais angle de vue, etc). Mais il ne fait plus office de matériel unique de référence.

En s'appuyant sur ces réflexions, je ressens les besoin suivants d'améliorations dans les outils existants de partage de SVP :

  1. avoir la possibilité de faire le lien entre un (ou plusieurs) documents et son (ses) SVP associés.
  2. avoir la possibilité d'associer ses sources (LaTeX par exemple) au SVP pour ne pas avoir à disposition que la version compilée, impossible à retravailler.
  3. avoir la possibilité d'associer des enregistrements audio et vidéo d'une présentation faite avec un SVP.
  4. avoir un espace de discussion associé à chaque SVP

De cette façon, il devient alors possible pour la personne intéressée par un travail de rassembler tous les éléments le concernant (documents, support de présentation, discours, etc.), et également de réagir si l'intervenant souhaite solliciter un retour de son auditoire.

jeudi 4 septembre 2008

La métaphore du porteur de miroir pour les traces modélisées

Une application à base de traces modélisées peut être imaginée telle un compagnon prenant la forme d'un porteur de miroir. Pour observer la trace de son activité, l'utilisateur regarde alors son reflet dans ce miroir. Le porteur obéit aux instructions de l'utilisateur pour modifier le miroir.

  • Ainsi, le porteur peut agrandir ou rétrécir le miroir pour changer la quantité d'éléments reflétés : on fait varier la quantité d'observés collectés par le système à base de traces (SBT).
  • Il est possible de placer des filtres devant le miroir pour ne voir qu'une partie du reflet : on sélectionne des observés précis par des règles de filtrage.
  • On peut ajouter un prisme pour envoyer (une partie de) son reflet à d'autres personnes, et recevoir des reflets provenant d'ailleurs : on réalise un partage de trace, et on construit des traces croisées et conjointes.
  • L'utilisant de lentilles permet de concentrer ou d'élargir des reflets : on ré-écrit la trace en une trace de plus haut niveau, et on crée des observés calculés.

Le vocabulaire du tableau blanc

En préparant la rédaction d'un article, j'ai découvert un problème : je ne sais pas décrire simplement l'activité que l'on réalise sur un tableau blanc; pire, je ne sais pas la nommer.

Il est courant que les noms des outils informatiques deviennent des verbes permettant de décrire ce que l'on fait avec : on « se skype » pour se parler, on « google » une question ou encore on « t'chat » (quel mot horrible !) avec ses amis.

Mais quel vocabulaire emploi-t'on avec le tableau blanc ?

Il existe des termes génériques comme « interagir » qui ne sont pas spécifique à cet outil, contrairement à d'autres (par exemple, « téléphoner » et non pas « téléparler »). Des termes plus scientifiques tels que « cotravailler » sont très laids, et de tout façon imprécis.

Si l'anglais permet de construire sans complexe des néologismes (avec tous les problèmes que cela comporte) comme «to whiteboard », une étude ad Gogulum montre que le terme ne prend pas. La forme française « tableaublancer » est là encore de toute façon très laide.

Un des raisons vient du fait que le tableau blanc est un outil qui permet de supporter une activé, et non pas une activité en elle-même. On utilise un tableau blanc pour partager, créer ensemble, montrer, organiser, etc. Utiliser un tableau blanc dans le simple but d'utiliser un tableau blanc n'a pas de sens. Donc on ne le fait pas, et comme on nomme rarement une non-action...

C'est pour cela qu'on voit fleurir des périphrases comme « pointer sur le tableau » ou bien « déposer sur l'espace partagé » pour désigner ce qui se fait dans l'activité. Mais quand il s'agit de travailler, on parle simplement de « modifier le carré » ou d'« ajouter du texte »; le support de l'activité s'effaçant pour ne laisser place qu'à l'activité elle-même.

Le tableau blanc, un outil innommable condamné au rang de faire-valoir ?

mardi 12 septembre 2006

Participation au 2006 HCI Workshop on Computer Assisted Recording, Pre-Processing, and Analysis of User Interaction Data

Je viens de participer au 2006 HCI Workshop on Computer Assisted Recording, Pre-Processing, and Analysis of User Interaction Data, in co-operation with ACM. Voici ce que j'en retiens à chaud.

Informations

Theme

Although computer-assisted recording, pre-processing and analysis of user interaction behaviour has received continuing research attention over the years, its full potential as a data source to inform the design process seems still unrealised. With technologies such as broadband internet and distributed applications, it is possible to continuously and unobtrusively collect interaction data. This data can relate to keypresses, mouse movements, eye gaze, as well as high-level events such as completing a task. This workshop will explore a number of open questions in this area, including: What is the best way to record and collect interaction data? What kind of computer tools, i.e. algorithms, can we use to filter and separate relevant data from noise? Which types of analysis and measures give us design-relevant insight into the interaction, the users, their interaction problems, their needs, personality, and experience? Traditionally, psychologists, usability experts, ergonomists, etc. have been among the main consumers and users of this type of data and supporting tools. However, making the data and tools easy accessible to designers and software engineers might even more directly impact the quality of the application. Therefore, we shall also explore the implications of this wider applicability of usage data.

Objective

The main objective of the workshop is to establish a community of researchers with an interest in this area, allowing a lively exchange of ideas and a joint exploration of outstanding problems and potential solutions. Please note that web usage mining in relation to product sales strategies is not within the scope of this workshop.

Ce que nous présentions

Le travail que nous présentions, dans le cadre du projet de recherche européen AtGentive, portait sur la conceptualisation et la gestion de l’activité : comment identifier les différents types d’activités réalisées sur ordinateur par utilisateur, pour les regrouper automatiquement en thématiques et faciliter le basculement de contexte de travail via des outils intelligents.

Nous avons présenté nos deux prototypes actuellement à l’essai. Le premier s’appuyant sur l’utilisation simple d’un virtual desktop manager, et le second, plus poussé, mettait en œuvre nos outils d’analyse d’activité pour proposer des éléments de métacontrôle à l’utilisateur.

The 2006 HCI Workshop on Computer Assisted Recording, Pre-Processing, and Analysis of User Interaction Data, in co-operation with ACM

Voir aussi les documents en annexe de ce billet.

Opinion

Les sujets abordés dans cet ateliers étaient très variés, allant de la réalité augmentée pour la géolocalisation aux EIAH, en passant par la définition automatisée de profiles musicaux.

Cet atelier, bien qu'enrichissant pour connaître ce qui se fait ailleurs, était trop vaste pour pleinement travailler sur les problématiques qui nous intéressaient. Cependant, tous les retours que nous avons eu sur nos travaux étaient positifs et résonnaient particulièrement avec ce qui se fait en ce moment dans les EIAH.

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