vendredi 9 avril 2010

Première version du prototype de l'OGVIT

J'ai l'immense plaisir, l'honneur et la joie de vous annoncer qu'une première version de développement de l'OGVIT (Outil générique de Visualisation Interactive de Traces) tourne.

Oh, certes, c'est du brut de décoffrage et il manque encore plusieurs choses, mais la tuyauterie est en place (malgré un problème clairement identifié et contourné), et il est possible de charger une trace produite pour la consulter, et même la tripoter un petit peu.

On peut découvrir sur la capture d'écran :

  • en haut à gauche : le debug du KTBS; on voit les requêtes entrantes et sortantes
  • à droite du KTBS : le collecteur de traces faisant le lien entre weechat et le KTBS; on voit les données internes et le traitement
  • à droite du collecteur de traces : weechat-traces, le client IRC instrumenté pour produire des traces; on voir l'activité dans le chat
  • en bas à droite : le debug de l'OGVIT; on y voit sa détection de l'affichage d'éléments partiellement ou complètement superposés
  • en travers de tout : l'OGVIT qui affiche la trace de weechat; on voit l'axe du temps, les observés codés par couleur (bleu : frappe clavier; rouge moche : connexion)

Première démonstration de l'OGVIT

mercredi 23 septembre 2009

Interconnexion application flash ↔ KTBS

Bonne nouvelle, les interconnexions sont en train de se mettre en place entre le KTBS et différents prototypes. Par contre, il reste du boulot.

Enfin bon, ça commence à tourner, c'est le principal. Voici un extrait de code en ActionScript montrant comment faire un aller-retour entre une application Flash et le KTBS. Notez la création simple de la liaison pour le service web via le HTTPService(). En revanche, ne me demandez pas (encore) comment on fait si la connexion timeout, saute, se bouche ou autre. Il est également possible d'utiliser directement des sockets, ce qui est pratique pour affiner les choses à la main.

Sérieusement, ce langage est immonde. Ça a la lourdeur du javascript, et la grammaire a été conçue par un polonais shooté à la vodka : ça ressemble presque à un langage normal, sauf quand ils se sont amusé à permuter l'ordre des éléments sans aucune raison valable (genre variable:type ← franchement, faut être malade pour inventer ça...). C'est supposé être un langage de haut niveau, userfriendly et tout, mais on se tape les contraintes héritées des années 70 (marqueur de fin de ligne, typage fort, etc). Et surtout ils ont tout pété entre les versions 2 et 3 du langage. Sans compter que le compilateur (en java) a le dynamisme d'une vache salers explosée au Lexomil.

Dernier détail : sur le papier, l'eventListener fonctionne, mais en pratique il ne me donne rien; je soupçonne fortement un tripatouillage interne des données, genre « bouge pas, je vais te mettre ça en forme et nettoyer ce qui ne sert pas ». Ben tiens...

// l'objet décrivant le SGBT
private var _sgbt :HTTPService;


/*
 * constructeur de KTBS
 */
public function SGBT() :void {
// création d'un service web sur le KTBS de PA
	_sgbt = new HTTPService();
	_sgbt.url = "http://ip6-localhost:8001/";
	_sgbt.method = "GET";
	_sgbt.contentType = "application/rdf+xml";
// reniflage de la réponse du KTBS, avec appel à reponse() en lui passant les données retournées
	_sgbt.addEventListener(ResultEvent.RESULT, reponse);
	_sgbt.send();
}


/*
 * traite les données reçues du KTBS
 * retourne : rien
 * mesData est l'événement provenant du listener sur requête du KTBS
*/
public function reponse(mesData :ResultEvent) :void {
	_sgbt.removeEventListener(ResultEvent.RESULT, reponse);
// trace() est une primitive de déboguage écrivant sur la sortie standard
	trace(mesData.result.toString());
}

vendredi 19 juin 2009

Outil de partage pour les supports visuels de présentation

SlideShare est un outil web de partage de support visuel de présentation (SVP).

Il permet simplement de mettre en ligne ses SVP afin de les diffuser. Mais il apporte en plus des fonctionnalités intéressantes, comme :

  • la notion de groupe, pour rassembler les membres d'une équipe
  • la définition d'une licence pour l'exploitation des contenus
  • des outils à la YouTube pour intégrer les SVP dans une page web
  • un système de commentaire pour obtenir des retours sur ses œuvres
  • des fonctionnalités d'exportation et de téléchargement
  • des fonctionnalités d'enrichissement possible par piste audio
  • le suivi de personnes et d'œuvres intéressantes
  • etc.

Bref, yabon. Fini de s'embêter avec le FTP, la construction (et maintenance !) de page d'index rassemblant le matériel... 3 clics et c'est fait.

En revanche, il ne faut pas oublier qu'un SVP n'est pas un document qui se suffit à lui-même. En effet, comme son nom l'indique c'est bien un support et non pas une ressource autoportée. J'en parle un peu ici.

Pour vous donner une idée de ce qu'il est possible de faire, voici une collection de mes SVP. Sexy, non ?

dimanche 17 mai 2009

Applications collaboratives à découvrir : jeu et outils

Comme pour les billets précédents|fr], un petit tour du web sur ce qui se fait d'intéressant pour l'activité collective.

Drawball

Drawbal est un… jeu ? une expérience ? En tout cas, c'est collectif synchrone et consiste à dessiner ensemble sur un disque gigantesque.

MeBeam

MeBeam est un outil web de visioconférence en Flash, avec chat intégré.

Très sommaire, mais fonctionnel. Il permet de faire ce que ne permet Skype, à savoir de la visioconférence à plus de 2 personnes; et cela intégré dans une page web.

Toutefois, sa gestion du son n'est pas terrible.

Transcriva

Transcriva est outil d'aide à la transcription de document temporel audio et/ou vidéo. Il peut également être utilisé pour faire de l’annotation.

dimanche 5 octobre 2008

Outil de tableau blanc en ligne

Dabbleboard est une application web de tableau blanc qui permet très simplement de travailler à plusieurs, avec des outils intéressants.

J'aime bien l'outil pour dessiner des formes, qui permet de « nettoyer » des tracés fait à main levée : par exemple, on fait 4 traits ressemblant vaguement à un carré, et l'outil va derrière reconnaître la forme et les transformer en un « vrai » objet de type carré.

Les fonctions de mises en forme sont basiques mais suffisent largement, avec une interface claire : pas besoin de se balader dans des menus pour choisir l'épaisseur du trait parmi 48 possibilités; juste quelques éléments existent. Cela fait une interface légère et agréable.

Je ne sais pas ce que ça vaut pour réaliser un « vrai travail » avec lui, mais ça donne envie.